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THE ZEMBLAS (Soul, Rhythm and blues, Sixties – Nice)

Avec trois albums (dont les premier et dernier mixés et masterisés par Jim Diamond), les niçois reviennent sur la scène marseillaise déterminés à jouer la seule chose qu’ils sachent faire : la sauce Zemblas !
Celle inspirée par les esprits foisonnants d’Earl King, Wilson Pickett, Joe Tex, Lee Dorsey, James Brown, Sam Cooke… Celle qui pimente les parquets, fait brûler les mollets, s’étirer la sensualité, s’animer la félicité. Avec eux c’est ambiance sauvage, sous le tropique du danseur.
Leur jungle sonore composée de Soul, de Rhythm’n’blues, impeccablement enrobée d’un son authentiquement vintage agrémenté d’épices «garage sixties», est la plus enivrante qui soit.
Incontestable groupe de scène, ils ont partagé l’affiche avec les Flamin Groovies, Don Bryant, donné des concerts au Canada, Suisse ou en Italie.
Avec eux, vous danserez le monkey, le watuzi, le madison, l’alligator, le boogaloo, le jerk, ou le BOZZ. Une fin de plateau groovy, intense, énergique pour rester en forme jusqu’au bout de la night !

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Dan Imposter & Les Tchoquettes (Girls Girls Girls Rock – Marseille)

Sous l’égide de l’incontournable Dan Imposter, un vent de fraicheur souffle sur la scène rock marseillaise. Si l’on écarte, avec tout le respect qu’on lui doit, tous ses balais à l’honorable métronome de ce groupe, la moyenne d’âge des demoiselles composant les Tchoquettes doit être inférieure à 25 ans. Fougue décomplexée de la jeunesse, énergie communicative, titres en français, reprises soigneusement sélectionnées et ancrage sixties assumé. Tel est le nouveau cocktail des Tchoquettes …bien agité dans le shaker du boss des Disques Tchoc. A découvrir.

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Les Bébels (French Beat – Marseille)

Le nom de ce gang musical pourrait laisser supposer que nous avons là seulement quelques cascadeurs de la comédie du French Beat. Ne vous y trompez pas ! Deux demoiselles n’y tenant pas de seconds rôles apportent une touche de parité à ce groupe jamais à bout de souffle d’action et d’humour, de compos et de « yeah yeah » échappés des bulles d’un comic strip underground post-lockdown où les héros porteraient des chaussettes improbables pendant leurs balances.
Avec les Bébels, c’est la gouaille dans le tonic, la positivité dans le cerveau comme dans le rythme, la désinvolture de Dutronc, l’ambition de produire des tubes à la chaîne. C’est Fuzz sur la ville, cent mille danses au soleil et la sirène du swinging 60’s toutes les nuits !

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Ber The Ber, le gimmick barbouze qu’un coiffeur ne saurait corrompre, vous fera trémousser le reste de la soirée.